Nous venons d’assister à un atelier extraordinaire concernant les possibilités du codage en classe. Une école de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoy, Paul-Jarry, a fait le grand saut en intégrant le codage de la maternelle à la sixième année. Les animateurs, dont la directrice, nous ont présenté les choix qui ont motivé ce grand saut.

Les réflexions qui ont mené à cette initiative ont été motivées par l’idée d’amener les élèves à l’ère du numérique au 21e siècle.  En ce sens, le codage devient très significatif. Le code est une langue universelle.  Aujourd’hui, on peut voir de jeunes enfants programmer des robots dès l’âge de 3 ans.  L’école Paul-Jarry a relevé un défi de taille: être la première école à coder. Travaillant de pair avec les universités, l’école s’est donné pour but de voir les changements d’ici 4 ans dans la résolution de problème.

Pour réussir ce défi de taille, les enseignants doivent accepter que les élèves soient plus rapides qu’eux dans l’apprentissage du codage.

Les formateurs de Brault et Bouthillier nous ont présenté des robots pour apprendre à coder:

• Bee-Bot et Blue-Bot
• Cubelets
• Dash et Dot

Pour ma part, je retiens pour le robot Dash pour l’enseignement de la musique. On peut le faire déplacer à l’aide de son, de commandes vocales etc. Aussi, l’accessoire xylophone permet de créer de la musique.

Sarah Charbonneau